Episodes
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#33 – Devenir agent du changement
Hélène de Vestele (Edeni) Pour réussir le pari de la transition écologique, nous devons changer et vite que ce soit dans nos vies professionnelles et nos vies personnelles. Et ce n’est pas la volonté qui manque puisque 70% des collaborateur.rices souhaiteraient être davantage impliqué.es dans la stratégie RSE de leur entreprise. Et 88% des Français.es se disent préoccupée par l’environnement. Mais ce type de changement ou de transition peut faire peur et beaucoup de personnes renoncent. Alors comment avoir un impact malgré tout ? Comment insuffler plus de sens dans son quotidien ? On peut devenir agent du changement et opérer des transformations en influençant de l’intérieur ses proches et…
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#32 – Décélérer pour retrouver son écologie interieure
Alice Vivian (Mojom) Pour faire face à la crise climatique à laquelle nous sommes confrontés, nous n’avons pas d’autres choix que celui de la sobriété. Pour cela, il nous faut changer nos modes de vie et apprendre à ralentir, à décélérer. Mais comment fait-on cela dans une société qui ne jure que par la performance et dans laquelle tout va vite, tout est injonction et dans laquelle la pression constante ? Nous devons nous reconnecter à l’essentiel, à la nature, à l’autre et surtout à nous-mêmes. Nous devons reprendre le pouvoir sur la gestion de notre temps, de notre stress et de notre énergie, évidemment dans nos vies privées mais ces…
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#31 – Quel futur désirable ?
Virgnie Raisson-Victor (Le Grand Défi) Nous sommes dans un monde qui fonctionne en système complexe, très complexe. Et quand il s’agit de se projeter dans un futur désirable, où sobriété rimerait avec prospérité, nous avons toutes les peines à le faire. Et pourtant, cet exercice pourrait nous être très utile pour mettre en place les actions qui nous permettront de changer de paradigme et d’agir pour construire un futur durable. Dans cet objectif, des professionnels se penchent tous les jours sur l’éventail des possibles. C’est le cas de Virginie Raisson-Victor que j’ai le plaisir de recevoir aujourd’hui. Virginie est geopolitologue spécialisée en prospective. Virginie a beaucoup de différentes casquettes dont celles…
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#30 – Parlons déchets !
Alexis Lemeillet (Take a waste) 330 millions de tonnes de déchets. C’est ce que nous produisons en France actuellement chaque année, soit 3 à 4 tonnes par personne. C’est astronomique ! Bien sûr, une partie est recyclée mais il ne s’agit que d’une infime partie. Alors si tout n’est pas recyclé, que deviennent nos déchets ? Car malheureusement, ils ne disparaissent pas comme par magie après que nous les ayons mis à la poubelle ! Le véritable enjeu est donc la prévention et la réduction drastique des différents types de déchets. Des solutions doivent être mises en œuvre afin de tendre vers le zéro déchet. Quelles sont les solutions pour…
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#29 – Du greenwashing à la communication éco-résponsable
Les sujets autour de la crise écologique occupent une place de plus en plus importante dans les stratégies de communication des marques. Si nous pouvons nous en réjouir, toutes les entreprises ne le font pas avec les meilleures intentions ou si les intentions ne sont pas focemment mauvaises au départ, le degré de transparence et de sincérité n’est pas toujours au rendez-vous et beaucoup d’entreprises basculent dans ce que l’on appelle le greenwashing. On ne compte plus les publicités de produits qui se disent « verts » que ce soient des voitures, des vêtements ou des produits ménagers. Même les banques s’y mettent. Certaines marques jouent avec les limites et brouillent les…
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#28 – Le numérique responsable et inclusif
Le numérique est au cœur de nos vies. Il crée des emplois, facilite les échanges, accélère la communication, etc … Mais a-t-il toujours un impact positif ? Il peut être source d’exclusion pour beaucoup et son impact écologique est lui aussi considérable. Pour toutes ces raisons, il est important de former au numérique mais de le faire de façon responsable et inclusive.
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#27 – Éco-anxiété: gérer ses émotions face à la crise écologique
Nous évoluons dans un monde de plus en plus incertain avec des tas d’enjeux notamment environnementaux tellement complexes qu’ils nous dépassent souvent. Cette prise de conscience, même si on l’estime nécessaire, peut générer beaucoup de différentes émotions qui peuvent être parfois très difficiles à appréhender même pour les plus engagés d’entre nous. Eco-anxiété, solastalgie, nous pouvons désormais mettre des mots sur ces émotions qui nous traversent et avec lesquelles nous devons désormais composer
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#26 – Décarboner la Finance
La transition écologique est complexe et coûte chère. Elle est évaluée à 5 000 milliards de dollars par an. Les états seuls ne pourront la financer. Le secteur privé a et va avoir un rôle décisif dans cette transition et notamment le secteur financier. Parce que oui, il y a un lien entre le secteur financier et cette transition écologique et malheureusement les flux financiers ne sont pas du tout alignés avec l’objectif de l’accord de Paris de contenir le réchauffement climatique en dessous des 1,5 degrés. Les banques, les assureurs et financeurs continuent de soutenir les secteurs des énergies fossiles, du charbon notamment avec un coût social et climatique…
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#25 – S’informer de manière ludique et responsable
Faire changer les mentalités et opérer les vrais changements ne peut se faire que si l’on est préalablement informé et bien informé. Il est indispensable de comprendre pourquoi et comment changer. Ce n’est qu’en sensibilisant le plus grand nombre de personnes qu’une vraie transformation est possible. Dans cet objectif, je vous présente aujourd’hui une belle initiative : Hello Planet.
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#24 – Un smartphone pour notre futur
S’il y a bien un objet qui a révolutionné nos vies au point d’engendrer une véritable addiction, c’est bien le téléphone ou plutôt le smartphone. Je ne sais pas vous, mais sans lui, je me sens un peu perdue ! On compte plus de 14 milliards de smartphones actifs dans le monde. C’est plus qu’il n’y a d’êtres humains sur la planète. S’il est vrai que ces petits objets connectés nous ont beaucoup apporté, on ne peut pas le nier, ils viennent avec une note plutôt salée. Les coûts environnementaux et sociaux sont énormes, sans parler des 21 milliards d’objets connectés qui nous assistent au quotidien.